27 avril 2006

Farniente

Alors à partir de ce soir : 4 jours de repos complet !!
Je ne vais pas perdre du temps à glandouiller, il faut absolument que je me dresse un programme :
Donc je dois rattraper mon retard au ciné et voir !
- Les Brigades du Tigre
- Transamérica
- Wassup Rockers
- Un año sin amor
- Silent Hill
- Les filles du botaniste
- The secret life of words


Je vais passer mon samedi à bosser avec Jérôme à La Traboule (ceux qui veulent passer déjeuner, boire un café, boire 12 verres sont les bienvenus)

Je dois aussi commencer le jogging le matin, puis le vélo également.

Je dois voir :
- Un p'tit ange qui habite tout près de chez moi
- Marc qui arrive de Mulhouse pour le week-end
- Steeve et Cyril
- Pascale, la psy des stars
- Dragibus (parce que ça fait longtemps qu’on a pas papoté)

Je dois diner au Tiafé, aux Feuillants puis certainement à L’Ultime aussi. (Rassurez-vous je n’ai pas gagné au Loto, mais ces restos ont la bonne idée de prendre les Ticket Restos, alors je ne m’en prive pas !)

Je dois aussi boire quelques drinks ! Mais ça... Vous vous en étiez doutés, j’en suis certain !! Non ?

Puis si j’ai le courage j’irai en vélo dans l’ain à la recherche de quelques brins de muguet lundi.
Elle est pas belle la vie ?
Magnifique Thérèse, magnifique !!!

Bon week-end !

Flammes

J'avais les cheveux fins
Une blondeur angélique
La peau de parchemin
Et un doigté biblique
Le temps ne passait pas
Seules glissaient les ombres
Dansantes autour de moi
Des nuées de colombes...

Je confessais ma peine
Aux flammes des bougies
En attendant que viennent
D'horribles insomnies...

En attendant que viennent
Mes pleurs d'après minuit
Heures antédiluviennes
Ou ses yeux m'ont surpris
Je ne regrette rien
Car ses coups dans mon corps
M'ont grandit un matin
Un peu après l'aurore...

J'apprivoisais sa haine
Au flammes des bougies
Et un doigt sur la veine
De ses hémorragies...

Alors je suis parti
Trop plein de cet amour
Piquant comme l'hortie
Mais je goûtais au jour
Depuis je n'oublies rien
Et si je vous souris
Ce n'est pas en chrétien
Mais au nom de la vie...


Les Flammes des Bougies by Frédéric Tézière from 'Bonetcha'

26 avril 2006

Prince Albert

Le phallus comme œuvre d’art ? (oui ! Moi j’en ai un sur ma cheminée). Le « Prince Albert » est un piercing génital (ne pas confondre ‘génial’ et ‘génital’ au risque d’être déçu !) de l’urètre. Il est posé à la base du gland sur la face inférieure (mouais… enfin ‘posé’.... je dirais davantage ‘clipé’ ? Plus joli non ?) Les bijoux (…de la Castafiore) sont généralement en forme d’anneaux, de barre ou de L (les W sont proscrits, tout comme les M, les K et les Z). Ils peuvent causer une miction à jet aspergeant, parfois gênante ou drôle… (Oui ? C'est-à-dire que j’ai rien compris là !! Et toi Martine ?) A l’époque victorienne, cet « anneau de soirée » permettait d’attacher le sexe le long de la jambe grâce à un ruban (je comprends mieux l’engouement de toute une génération pour Le Seigneur des Anneaux). Ceci pour éviter qu’il ne soit trop voyant dans des pantalons moulants (tu m’étonnes, et quand le mec avait une ‘érection de soirée’, il devait être super à l’aise non ?!). Le prince Albert en portait un, raconte la légende (celui d’aujourd’hui en à toute une collection ! Son dernier il le ramène du pôle nord. Il l’a prélevé sur un eskimo mort depuis 2000 ans et conservé dans la glace), qui lui permettait de garder le gland hygiéniquement décalotté (c’est vrai que c’est mieux que d’y trouver du fromage autour…c’est fini le temps des raclettes, on est au printemps !!).

Définition by E. Remès (annoté par moi evidemment encore et encore et toujours et enfin.)

Pénis

Le fameux pénis (oui, ‘fameux’ c’est bien le mot je dois dire !) qui transporte le sperme est l’organe essentiel (oui, ‘essentiel’ c’est bien le mot je dois dire) de la pénétration et des jeux érotiques masculins (allez les filles, on joue à quoi ? A chat ??). Il est constitué de la racine qui se trouve dans l’abdomen en bas de la région pelvienne (région qui devient de plus en plus touristique, donc très visitée… huhuhu), et de la verge. Celle-ci est constituée d’un organe extérieur cylindrique (une sorte de ‘biberon’ dirons-nous !), recouvert d’une couverture fibroélastique n’adhérant pas aux tissus (heureusement chéri que ça n’adhère pas, sinon c’ est la cata !!). La verge est constituée par les corps érectiles, très vascularisés :
1 : les deux corps caverneux (les spéléologues en herbe seront ravis), entourés de l’albuginée (membrane entourant certains organes, en particulier le pénis),
2 : le corps spongieux (ou spontex), qui entoure l’urètre et forme le gland (dieu que ce mot est beau !!).
Le tout est entouré d’une peau fine et mobile sur la verge, se repliant sur elle-même au niveau du gland pour former le prépuce (plus connu sous le sobriquet de ‘petit chauve à col roulé’). Le prépuce, manchon (les manchons pour l’hiver c’est très tendance) cutanéo-muqueux, présente une face interne muqueuse en rapport avec le gland, et une face externe cutanée prolongeant la peau du fourreau (le fourreau aussi est très tendance pour skier à Megève) de la verge. Ces deux faces sont séparées par l’anneau ou orifice préputial suffisamment large pour permettre l’extériorisation du gland (j’adore quand ça s’extériorise moi !). L’érection est l’issue transitoire de l’hémodynamique et de la verge qui déclenche sa tumescence puis sa rigidité, permettant à ce bel organe d’être érigé (et à ses adeptes de s’agenouiller devant en ouvrant la bouche béatement) .
Au centre du corps spongieux se trouve l’urètre (bonjour madame !) (le conduit par lequel s’écoulent le sperme et l’urine) qui s’ouvre au niveau du méat urétral. L’érection est obtenue grâce aux corps caverneux à deux branches (y’en a du monde là dedans !!). Durant celle-ci, ils se gonflent en remplissant leurs cavités spongieuses avec le sang des artérioles qui se dilatent sous l’action du système parasympathique (oui….trrrrrrrrès sympa) alors que le retour veineux pénien est réduit. Le système vasculaire est, avec le système nerveux, l’acteur principal (en tant que star internationale, je précise que je ne connais pas du tout cet acteur !! C'est un usurpateur !) de la sexualité. L’excitation crée un réflexe de dilatation des artères, et le sang qui les parcourt alors en quantité modifie la morphologie de l’organe (parfois il sourit !).
L’érection dépend de multiples facteurs physiologiques et psychologiques (tu m’étonnes Charlotte !). Elle nait le plus souvent d’une augmentation du taux d’adrénaline et de dopamine dans le cerveau (généralement précédée d’une bouche gourmande aux lèvres lippues). Ou encore par un stimulus involontaire des parasympathiques du pénis qui produit un relâchement des muscles internes de la verge permettant un afflux de sang dans les artères qu’il va dilater tout en remplissant également les veines sinusoïdes (ben quel bordel !! On y pensera la prochaine fois ?? Je compte sur vous les filles !!). Le sang est empêché de refluer par cette congestion (toi tu bouges pas, tu reste là !! C’est clair ?? Non mais des fois j’te jure…. Pffff).
Après l’orgasme (haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii), les artères retrouvent leur taille initiale, la pression diminue dans les veines, les muscles internes de la verge se contractent et le pénis redevient mou (allez hop… au suivant !).


Définition by E. Remès (annoté par moi evidemment encore et encore et toujours.)

25 avril 2006

Anus


C’est le continent perdu (perdu, perdu.. c’est vite dit hein ?? Moi mon doigt il les trouve vite les anus) de la masculinité et de l’hétérocentrisme (keskidit ??). L’anus et le rectum comportent bien plus de terminaisons nerveuses susceptibles de provoquer du plaisir que le vagin (et TOC !). On peut donc dire que le rectum est ainsi plus apte à provoquer des sensations et donner du plaisir lors d’une pénétration qu’un vagin (et RE-TOC ! C’est clair dans ta p’tite tête de photographe de meeeeeeeerde ??). Qui plus est, l’homme possède une prostate jouissive et équivalente au point G féminin (trop fort les mecs !!). Pour Béatriz Préciado (on sait pas qui c’est mais on s’en fout !) : « l’anus présente trois caractéristiques fondamentales qui en font le centre transitoire d’un travail de déconstruction contra-sexuelle (déjà elle s’est bien penché sur les culs elle !!) :
1- L’anus est un centre érogène universel situé au-delà des limites anatomiques (stargate ?) imposées par la différence sexuelle et où les rôles et les registres apparaissent comme universellement réversibles (la vérité est ailleurs Scully ?) (qui n’a pas d’anus ? –excellente question en effet, en réponse je dirais : celui qui ne fait pas caca ?-).
2- L’anus est la zone de passivité primordiale (tout de suite après viennent les trous de nez), un centre de production d’excitation et de plaisir qui ne figure pas sur la liste des points orgastiques prescrits.
3- L’anus constitue un espace de travail technologique ; c’est une usine de refabrication du corps en tant que contra-sexuel ((ou c’est qu’on envoie les CV ??? Hihihi).
Le travail de l’anus ne vise pas la reproduction et ne se fonde pas sur l’établissement d’un lien romantique (chéri, je suis raide dingue de ta rondelle !!). Il génère des bénéfices qui ne peuvent être mesurés (mmhh, vous êtes sûr Martine ?) à l’intérieur d’une économie hétérocentrée (ben tant mieux, ça m’enlève un poids dites-donc !!).


Définition by E. Remès (annoté par moi evidemment encore et encore)

Testicules


Les testicules de formes ovoïdes sont au nombre de deux (tant mieux, je préfère !) et sont suspendus dans le scrotum (tel Tarzan à sa liane ?). Ils mesurent 4 à 5 cm (ça rentre mieux en bouche ainsi…). Ils sont composés de la pulpe entourée d’une enveloppe blanche, l’albuginée (on s’en tape complètement non ?). Elle-même entourée par la vaginale, expansion du péritoine, qui facilite sa mobilité (c’est mieux que ce soit mobile quand ça glisse sous la langue…). Les testicules ont deux fonctions : la production de spermatozoïdes et la sécrétion des hormones mâles nécessaires au développement des caractéristiques sexuelles masculines (transformation pubertaires, apparition des caractères sexuels secondaires -les blondes naturelles ou non par exemple-, stimulation du désir –prends-moi comme une ouvrière… Mdrrrr-).
Ils ont, la plupart du temps, une consistance relativement ferme tandis que le scrotum, qui les contient, est traversé de tissus conjonctifs plus lâches. La fermeté et la grosseur des testicules varient d’un homme à l’autre (ceux de Keanu Reeves doivent être magnifiques !). Certains sont durs tandis que d’autres sont mous (comme des vieux chewing-gums trop longtemps mâchés ? Berk !). On remarque une asymétrie des testicules. A l’âge adulte le testicule gauche est généralement plus bas que le droit (ouais… moi je le retrouve souvent dans ma chaussette gauche). Sur le côté supérieur du testicule se trouve l’épididyme (kézako ?). Les testicules sont une sorte de toile d’araignée pelotonnée et l’on y trouve une multitude de petites choses : tubes séminifères, épithélium germinal… (ben heureusement que je suis pas arachnophobe, sinon déliiiiiiiiiiiiiire ! LOL).


Définition by E. Remès (annoté par moi evidemment et encore)

Sperme

Le sperme est un liquide totalement différent de l’urine,(Non ? Sans déconner ??) à la fois dans sa fonction et dans sa composition. Ainsi l’urine sert à évacuer les déchets de l’organisme (Ah ! Va falloir que j'arrête les 'Golden Showers' moi.. Lol), alors que le sperme joue un rôle dans la procréation (Euh… même dans un kleenex ?) et incarne l’apothéose de la jouissance masculine. La quantité de sperme éjaculé n’est pas très grande : entre 2 et 5 ml. Sa saveur varie d’un homme à l’autre (celui de Keanu Reeves doit être 'gorgeous' non ?) et d’un moment à l’autre. Ce délicieux liquide que certaines mamans comparent à du caviar, renferme entre 200 et 400 millions de spermatozoïdes, des cellules particulières qui transportent la moitié du code génétique. Lors d’une relation sexuelle avec une femme, les spermatozoïdes ainsi déposés au fond du vagin entreprennent une course hystérique (dégage de là pétasse, c’est moi la première !!) pour atteindre l’ovule. Il fusionne avec celle-ci pour former la première cellule de ce qui deviendra au bout de neuf mois, un bébé qui pleure et qui pète.
(…)
On peut améliorer la saveur de son sperme par son alimentation. Les aliments alcalins tels que les viandes ou les poissons mais aussi les produits laitiers engendrent une odeur forte et fétide. L’alcool, les fruits et les bonbons lui donne une saveur plaisante et sucrée (Ca marche aussi avec les dragibus ?? Mdrrrrrrr) !!!


Définition by E. Remès (annoté par moi evidemment)

21 avril 2006

SMS mon amour

Parce que j'ai trouvé l'idée marrante, je reprends l'idée de Mister Cre à mon tour. Je me disais que ça pourrait générer une châine... LOL ! Ainsi je vous dévoile tous les SMS que j'ai gardé depuis plusieurs moi et que je n'ai pas effacé.
A vous d'analyser ça si le coeur vous en dit ! LOL :)


Jérémy 20/04/06 - 02h41 :
J’ai vraiment beaucoup aimé cette soirée également. Je passe de très bons moments en ta compagnie. Par contre il va falloir m’expliquer ce qu’est ‘ mon monde’. Je ne cerne pas encore très bien ce que tu définis par ça. Je t’embrasse, je t’adore.

Sandy 19/04/06 - 21h21 :
Ouais !! Et vive la tortue ! Et vive toi ! Que tu sois entendu. A tt à l’heure, frérot !

Alex 19/04/06 - 17h58 :
J’ai pas encore eu le temps de tout lire, mais j’adore ton plug, euh non ton blog ! Je m’y remet ce soir. Bravo. Mais heureusement que je n’ai pas lu avant de dormir avec toi, sinon j’aurais flippé. Lol. Je fais allusion à l’un de tes derniers textes. Bizzzxxx.

Coccinelle 18/04/06 - 19h56 :
Long time, no news… Coucou petit sha. Comment vas-tu ? Moi ça va. En vacances. Je t’appellerai ce week-end. Bisous.

Alex 17/04/06 - 23h16 :
Oui j’ai les boules. Je veux revenir !!! Vraiment ! En plus t’es vraiment génial. Merci encore.

Chris 17/04/06 - 04h15 :
J’aimerai avoir les deux en même temps… C’est grave docteur ? Oh mais oui, pour toi je suis sur de me retrouver tout comme avant. En plus, vu ce que tu as dit que tu voulais me faire, encore plus… En tous cas ça m’avait trop trop excité !

ADNAngel 13/04/06 - 16h50 :
Désolé 2 ne pas être passé pour le café. C pas ma journée. Me suis choppé une méga angine. Pas cool que ce n’est que partie remise. Promis !

Nicolas 12/04/06 - 22h06 :
Hello garçon, ça va ? T’es dans les préparatifs de la fête ? J’espère que tu as prévu de nous sortir, Alex et moi vendredi soir !! Bisous.

Ludo 10/04/06 - 17h36 :
Salut. Ca pourrait être sympa oui, mais je pars mercredi pour bosser. Donc ça va être difficile… Je te tiens au courant. Sinon on peut faire ça quand je rentre. Bizz.

P’tit cœur 06/04/06 - 17h06 :
Effectivement je viens de traverser un sacré grain ;-)
Suis à Giens, je me repose. T’inkiet pas, je vais nettement mieux. Qd j’aurais enfin mon appart, tu passeras m’embêter un peu. Lol. A plus…

Benny 04/04/06 - 12h48 :
Loulou, je pars à Milan au salon de la déco. Je serais pas là jeudi. Je t’apl dès que je rentre !

Jérémy 30/03/06 - 16h18 :
Bonjourno bello. Si tu veux passer ce soir ce sera avec plaisir. Kisses.

Muriel 27/02/06 - 14h16 :
Je te félicite pour ton formidable résultat lors des Césars 2006.

Coccinelle 26/02/06 - 21h39 :
Je bois un petit Gloss et je pense à toi. Santé mon petit Sha :

Fabrice 22/02/06 - 22h05 :
Je viens ce soir. On se retrouve là-bas ou avant dans un bar ?

Oniris 12/02/06 - 01h23 :
Trop star /lire trop défoncé/ pour ce soir. Je t’embrasse. Je garde les shaps pour la prochaine soirée.

Damien 04/02/06 - 20h32 :
Juste une petite biz parisienne. J’espère que tu vas bien. Take care. A bientôt et biz à Ivana et Ju.

Benny 28/01/06 - 14h22 :
A pile ou face… Ce fut un réel plaisir de te recevoir miss Stone. A tout vite !

Alexis 21/01/06 - 00h08 :
Kan escekon mangeensemble ?

Vince 14/01/06 - 17h51 :
Merki beaucoup miss stone. J’espère que tout va bien et qu’on se verra bientôt. Bises.

Benny 18/01/06 - 15h58 :
Tu me manques Sharon !

Manne 13/01/06 - 00h00 :
Merci encore d’être là. Lov ya.

Dragibus 08/01/06 - 06h51 :
Bon je me rentre et ma fais une série de P. Ca va me détendre et te faire pire au réveil darling. Merci, espère ai pas été trop lourd.

Dragibus 05/01/06 - 19h39 :
Comme d’hab suis pas en avance. Désolé, j’arrive, je cours, je vole… A tout de suite !

Benny 04/04/06 - 15h16 :
Sharon, hier j’ai vu le p’tit mec que tu m’as présenté à l’UC un soir… Tu vois ? Il faut absolument ke je le revoie. Aide moi !

Benjamin 26/10/06 - 15h16 :
Miss Stone, ça va ? Nos petites soirées entre stars me manquent. Tout se passe bien à Paris. Désolé pour ne pas être resté en contact. Big bisous.

Glorfindel 20/10/05 - 19h57 :
Coucou ! Un tit bisou du tit elfe… j’espère que tout va bien dans ta vie ! Tout plein d’amour !

Nours 17/10/05 - 09h39 :
Salut Gilou, le champagne coule t’il encore dans tes veines ? A +.

Greg 12/10/05 - 18h10 :
Salut Sharon. J’ai bien emménagé mais j’ai la tête dans les cartons. Je te rappelle dès que j’aurai fini mon apné ! A+.

Coccinelle 25/09/05 - 19h48 :
Merci petit Sha pour ton accueil et ta gentillesse, bonne fin de week-end et bisous.

Benny 01/09/05 - 23h08 :
Nous sommes aux Demoiselles… Je pense à toi. Bisous.

Bonetcha 31/08/05 - 23h42 :
Un gros bisou de Vichy pour te dire que je ne t’oubliais pas.

Printemps

Putain quel pied ce soleil non ?
Ce putain d'hiver qui n'en finissait plus...
Hier en terrasse j'ai bien pris conscience que le temps des fleurs était de retour.
Le temps qui nous permet de butiner, encore et encore.
L'envie de butiner ne me quitte jamais me direz-vous, mais elle est plus flagrante.
Car avec le soleil les garçons dévoile parfois une jolie peau restée trop longtemps cachée sous les tissus d'hiver.
Ainsi hier, c'était une épaule naissante, des chevilles et des mollets galbés.
J'adore les mollets galbés.
Ca donne envie de mordre dedans.
Le printemps est là les cocottes.
Alors le mot d'ordre pour tous : BUTINONS
.

19 avril 2006

Paradis d'Enfer

Je vais bientôt rejoindre, dans quelques mois, la maison de pierres qui berce mes étés depuis si longtemps.
J’ai hâte de laisser les vêtements de côté et de pouvoir profiter de la chaleur du soleil.
Lorsqu’il est encore tôt et qu’il caresse tout juste l’horizon, j’aime à me baigner dans cette eau turquoise, alors que tout n’est encore que silence.
Je nage tranquillement jusqu’au bout de l’île en longeant la falaise.
Puis je reviens de la même manière m’étonnant à chaque fois de la splendeur du paysage.
Je m’étends alors sur le sable blanc et au son des cigales, je ferme les yeux en écoutant le léger ressac.
Quand le soleil devient trop brûlant, je rentre boire un grand verre d’eau dans la maison de pierres.
J’écoute le silence.
Ce silence que je fuis toute l’année, je le vénère là-bas. Il me redonne vie.
Tout cet alcool que je bois toute l’année ne me donne plus envie là-bas. Il me lasse.
Alors je continue d’écouter le silence… qui n’en est pas tout à fait un d’ailleurs : il y’a en plus des cigales, le souffle du vent dans les pins, quelques mouettes éparses…
Au plus chaud de l’après-midi, je m’allonge sous l’olivier, au creux de l’herbe. Je m’endors souvent en lisant.
En fin de journée, lorsque le soleil est moins fort, je retourne sur la plage blanche par le chemin des contrebandiers. C’est escarpé, c’est aride, la pierre est brulante.
Je me laisse aller de nouveau à nager, encore et encore…
Enfin, lorsque le jour commence à mourir, le chant des cigales se tait et laisse place à celui des grillons. Nocturne chant enivrant quand, par la fenêtre ouverte, le vent de la nuit vient faire s’agiter le frêle drap qui me recouvre.
C’est au plus noir de ces nuits, quand le phare tourbillonne au lointain, que je me surprends à espérer ne plus jamais revenir.
Mais toujours, je reviens…
Parce que le paradis sans l’enfer n’est pas vivable !

18 avril 2006

Week-End Party

Ce week-end, Lyon était agité par divers évènements. Parmi ceux-ci les anniversaires de Dragibus et de Ivana Trump, mon colocataire qui est également un ami depuis 15 ans (évidemment comme vous pouvez l’imaginer c’est un surnom. En effet si Ivana Trump et Sharon Stone habitaient ensemble à Lyon, cela se saurait !!).
Bref, je vais bien sûr m’attarder sur l’anniversaire d’Ivana, du fait que celui de Dragibus à déjà bien été relaté dans divers blogs. Je ne minimise pas son impact pour autant, soyez-en certain.

Ainsi tout à commencé par l’arrivée de Nico et Alex vendredi soir. Des amis de Paris qui logeait dans notre somptueuse demeure. Répartition des corps faîte, il apparait que Nico dormira sur le canapé avec Julien (un ami que nous hébergeons pour le moment) et Alex dans mon futon, accompagné de moi-même bien sûr. Quel chance il à n’est-ce pas ? Je suis tellement joli ! (Private Joke 1).

Vers 22h nous arrivons aux Demoiselle de Rochefort pour diner. Stéphane (un ami lyonnais) nous rejoins à l’apéro. A raison de plusieurs coupes de champagne, de moults verres de vins et de petits digestifs, nous sortons vers 1h du mat pour nous rendre au Lax afin de continuer notre consommation d’alcool. Entre-temps nous avons été rejoins par Marie (une amie de très longue date, et accessoirement la maîtresse de Stéphane), Jérôme, Marc, Laurence et Alain (des amis noctambules et fêtards bien entendu !)
Il faut savoir que mes amis sont bien évidemment autant ‘addict’ que moi à toutes sortes de choses dont les sorties, l’alcool, le sexe, etc.
Vers 2h30 on se dirige vers L’United Café.
Les seuls survivants sont les homosexuels. A savoir que les hétéros (donc Marie et Steph -vous suivez c’est un bonheur- j’adore) sont allés se coucher.
Julien ne tiendra pas longtemps ainsi que Jérôme qui travaille le lendemain. Nous parvenons à nous extraire de cette boîte vers 5h00 du mat et, grâce à Marc, nous pouvons rentrer chez moi en voiture. Ce qui, vu l’heure tardive, est un grand soulagement.
Comme convenu, Nico rejoins Julien et Alex ma couche. Après m’avoir irrité la peau des couilles après s’y être longuement frotté le menton, (Private Joke 2) Alex s’endort au son de la voix de Lisa Gerrard. Il va en tomber fou amoureux !!

Le lendemain après une grasse matinée pas très grasse justement, nous filons déjeuner à La Traboule pour revoir Jérôme. Il à bonne mine malgré sa courte nuit, et nous, nous sommes absolument superbes, comme il se doit.
Julien, Nico et Alex partent faire du Shopping et moi je trainasse avec quelques digeos. Vers les 17h, je pars en quête du cadeau pour Dragibus. Je saute sur le DVD de « Torch Song Tilogy » mon film gay culte !! Je passe voir Illusion Factory à sa boutique qui, dans sa grande mansuétude, me fait un très joli paquet pour que le cadeau fasse plus mystérieux qu’un simple emballage Virgin ! Le marquis de Lafayette est là également et il met sa petite touche finale à la décoration du paquet. Je repars chez moi tout content pour finaliser la préparation de la soirée qui arrive chez moi.
Plusieurs personnes sont déjà sur le pied de guerre. Ivana (la principale intéressée) est rentré du travail et s’attèle à la cuisine, moi je m’attèle aux toasts divers et variés. Nico et Alex également. Une fois le principal fait et que les 50 kg de glace sont arrivés (on a transformé la baignoire en sceau à champagne… c’est le plus pratique pour ranger 40 bouteilles !!) on à pu se détendre un peu en regardant quelques sketches de Florence Foresti qui est devenu notre référence à tous ce week-end là !! Merci Oniris pour le prêt du DVD. Tu es la meilleure darling :)
A 20h je m’éclipse avec Illusion Factory à l’anniversaire de Dragibus. J’ai droit à une grosse heure pour papoter avec lui et ses amis, dont notre cher Yoyo. L’ambiance est sympa, le punch excellent et mon cadeau fait mouche. Il adore ! Ca me rassure, en même temps je n’avais guère de doutes… LOL !
Je fais la connaissance de Sissi (trop rapidement hélas) et je revois avec plaisir Mme Marcadet. Je l’avais croisé rapidement il y’a 3 ans environ. Le revoir m’a fait un plaisir « orgasmique »… Je suis tombé sous le charme !!
Mais le temps passant, j’ai dû retourner chez moi, accompagné par Illusion Factory, mon body guard personnel qui crie dans la rue quand on m’agresse (Private Joke 3).
A mon retour un certain nombre de personnes était déjà là. Les autres sont arrivés par la suite et au plus fort de la soirée nous étions une bonne quarantaine (les autres parisiens étant arrivés dans la journée) à danser, hurler et vider les caisses de champagne et autres alcools présents. Illusion Factory est resté un moment puis est reparti à l’anniversaire de Dragibus.
La soirée à continué jusque vers 4h, ou les premières fatigues se sont faîtes sentir chez certains. A 4h30 Illusion Factory est revenu, on a redansé au son de la BO de « Victor Victoria » et de la voix de Julie Andrews. Vers 5h je suis allé dormir chez lui, car chez moi c’était trop le boxon et quelques personnes ivres-mortes squattaient partout. Or il me fallait une vraie nuit de récupération pour attaquer le ménage le lendemain. Je savais qu’en restant chez moi je ne dormirais pas.

Dimanche donc, levé 14h00 (merci Illusion pour le silence et le repos, je t’adore…). Retour à l’appart. Les squatters étaient partis, Alex revenu de son élevage de lapin (Private Joke 4), Ivana, Julien et Nico en train de faire la vaisselle et la cuisine. Donc déjeuner rapide, long ménage et sieste pour le reste de la journée.
Au soir venant, on a retrouvé les autres amis de Paris de la veille pour un apéro au Quai et un diner à La Chapelle Café. Nous étions 12 en tout, et on peut dire que c’était un joyeux bordel pour le diner. Ensuite petit détour par La Ruche pour finir de nouveau à l’UC. Vers 6h du mat on est rentré. Alex et Nico ayant échappés à de fétides haleines baveuses (Private Joke 5), nous nous sommes dirigés cahin-caha vers mon chez-moi. Alex ayant grand faim, je me suis vu lui resservir 2 kilos de pâtes à la carbonara. Alex et la Pépette même combat : qu’est-ce qu’elles BOUFFENT (Private Joke 6).

Pour terminer, hier lundi, une autre grasse matinée (beaucoup plus grasse), un déjeuner léger (même pour Alex), le départ de Nico vers 13h puis celui d’Alex vers 20h ainsi que les autres parisiens que nous n’hébergions pas. Tout le monde est rentré tranquillement et figurez-vous que moi, hier soir, je me suis couché avant minuit. Incroyable non ?

En tous cas, des week-ends comme ça j’en veux encore et encore….

Ps : Tu vois Sissi, c’est plus léger comme post non ? (Private Joke 7).

10 avril 2006

La minute Blonde

Bon, mes derniers posts sont très noirs et les gens s'inquiètent (lol)... donc pour redonner un peu de joie en ce printemps frileux, voici quelques perles de notre Blonde favorite !!!

« Tu sais Brice, j’ai remarqué qu’il y’a deux catégories de spectateurs qui ont vu ton film : d’un côté ceux qui ont trouvé ça super drôle, de l’autre côté… les vertébrés »

« Le monde va mieux… et Moloko, le dernier panda aussi…. En plus, on a bon espoir de le faire se reproduire avec le dernier indien Maori »

« Jacques Higelin, il paraît que vous allez reprendre des chansons de Trenet ? Mais de quelle traînée exactement ? Jenifer ? Nolwenn ? Hélène Ségara ? »

« Dans les tranchées les poilus n’ étaient pas si mal nourris que ça vu que les généraux les envoyaient tous les jours à la boucherie ! »

« Vous savez, un jour les historiens se pencheront sur notre époque et ils écriront : ‘Dans les années 2000, Cauet était l’animateur télé préféré des Français. C’était juste avant que la France soit rebaptisée Mongoland et que le SMS devienne la langue officielle.’ »

« C’est marrant, aux Etats-Unis, on se demande si un noir ou une femme seront un jour président. Chez nous en 2007, on a déjà choisi, ce sera un nain ! »

« Le monde va mieux, l’Afrique va mieux ! On y meurt beaucoup moins de faim depuis qu’il y’a le Sida. »

« Dans mon pays à moi les gens seront libres et égaux et ceux qui n’arrivent pas à être égaux seront déportés. »

06 avril 2006

Les amants

Les années folles sont derrière nous,
On se croyait à moitié fous,
Quand certains riaient à nos éclats,
Quand d’autres n’y arrivaient pas.

Des souvenirs au fond des yeux,
Des rires enfouis, et parmi eux
Ce que nous seraient devenus
Ces gens dont on ne se souviendrait plus.

A ces enfants que nous étions,
A ces rêves auxquels nous croyions,
A ces yeux bleus que j’ai croisés
A la vie qu’ils m’ont fait aimer.

Pour toi je suis devenu fou,
J’ai mis les étoiles à genoux,
Je suis ce gosse qui n’a plus peur,
Tu es celui qui me tient debout.

Je revois en rêve, chaque jour en tes yeux
Les envies de nos matins blêmes,
Ces yeux bleus qui me font tenir,
Lever la tête et même sourire.

Si je ne prends pas de détours, c’est pour résister à ces jours…
Si je m’enferme à double tour, c’est pour t’écouter mon amour…
Quand trop d’envies seront passées, le monde pourra bien s’effondrer…
Nous demeurerons toujours, et pour toujours mon amour, des amants.


A Manu...

Inspired by J. D'Anvers

05 avril 2006

Le passager de la pluie

Te souviens-tu de la petite maison de pierres au fond du jardin ? Là où tes peurs les plus anciennes demeurent, tapies dans l’ombre, au milieu des outils et des vieilles chaises protégées du plastique des vieux jours ?

C’était il y’a fort longtemps, lorsqu’un matin de pluie tu t’étais réfugié dans cette maison pour t’abriter de l’orage.
Cette petite maison si familière depuis toujours allait devenir, sans que tu l’imagines, l’antre de toutes tes craintes, le tournant de ta vie…

L’homme était là, dissimulé lui aussi, sans doute pour s’abriter tout comme toi. La seule différence se tenait dans vos esprits. Le tien, encore innocent, le sien déjà meurtri d’envies interdites.
Sans bruit il se leva et parvint à te surprendre.
Trop vite, trop fort.
Il t’immobilisa, te regarda et au premier instant tu démasquas le désir dans ses yeux. Des yeux si profonds, si noirs.
Il commença à se déshabiller, faisant glisser son pantalon le long de ses cuisses puissantes. Son sexe gonflé tendait le coton déjà humide du slip blanc. Il fit glisser le slip, libérant sa vie, tendue dans l’ombre. Il approcha son sexe de ta bouche et le frotta contre ton visage.
Tu pouvais sentir l’odeur de l’homme, de sa puissance, de son inextinguible ardeur.

Il arracha tes vêtements. Tu étais maintenant nu, offert à lui. Il se masturbait doucement, semblant savourer chaque nouvelle poussée d’adrénaline. Il fit glisser sa langue entre tes cuisses, te releva les jambes et lécha abondamment le fondement de ton être. Tu semblais perdu, humilié, terrorisé. Et pourtant tu sentais le plaisir te gagner, ta verge se durcissait, s’allongeait. Jamais tu n’aurais imaginé de telles facultés.

A la vue de ton désir, l’homme te libéra, te pensant consentant. Il ouvrit la bouche pour engloutir ton sexe et le sucer longuement. Tu sentais venir la jouissance, tu gémissais. Tu te risquais même à glisser une main sur ses testicules, les caressant, les soupesant comme une nouvelle découverte ; étrangère et cependant si grisante.
Ton cœur cognait à tout rompre, lorsque pour la première fois de ta vie, ton pénis libéra sa semence et qu’au plus profond de ton ventre, une irradiante chaleur exacerbait tout ton être. Du plus loin de tes souvenirs, jamais plaisir ne fut aussi violent, aussi troublant, aussi envoûtant.

L’homme attendait à son tour le plaisir. Mais tu ne pouvais pas lui rendre, tu ne voulais pas lui donner satisfaction. Tu débusquais, dans la pénombre, parmi les outils, une paire de ciseaux. Tu t’en saisis brusquement et la lui enfonça dans la tempe.
Son regard se figea un instant, pensant sans doute qu’on ne manipule jamais l’enfance sans en payer les conséquences.
Son pénis sembla se durcir davantage tandis que la mort s’installait en l’homme qui retomba lourdement sur le sol.
Avant de partir, tu ne pu t’empêcher de caresser le galbe de ses fesses musclées, sachant dès lors, ce que serait ta vie et quels seraient tes désirs d’adulte.

Aujourd’hui tu te donnes aux hommes mais toujours avec crainte et plaisir mélangés, te souvenant de ce lointain jour de pluie ou un passager de hasard mit le feu à ta vie.
A chacune de tes relations d’un soir tu repenses à tout ce qui t’enivres dans la perversion nocturne ; lorsqu’au bout du plaisir tous tes amants se meurent, le visage de marbre et le regard figé par la stupeur quand tu brandis, à chaque fois, les ciseaux qui étincellent dans l’ombre.
Maintenant la mort égraine chacun de tes passages ; tel un bourreau implacable, tu te venges sur autrui de la douleur d’avoir vu s’envoler tes rêves d’enfant, un peu trop tôt, un peu trop vite.

Il ne fallait pas briser ton innocence au risque de la voir condamner, sans pitié, les âmes lapidées.
L’enfance assassinée ne pardonne que très rarement les sévices du passé et c’est toujours lorsque coulent les larmes que se fait menaçant l’éclat du métal.

03 avril 2006

Culs de Coeurs

Ton cœur sent le cul, le sais-tu ?
Alors gardes-le ton cœur !
Je te laisse ton cul, et toi tu me laisses mon cœur !
Profite de tes histoires de cul,
Abandonnes-moi à mes histoires de cœur !
Même si parfois je mets du cœur à avoir des histoires de cul,
Je ne promets jamais mon cœur comme tu le fais, juste pour avoir du cul.
Tu accules les mecs à te donner leur culs en leur promettant ton cœur…
Tu es sans cœur, et ça m’écoeure de t’avoir donné du cul !
Aujourd’hui tu brades ton cul à la recherche d’un cœur…
Mais il est trop tard car trop de cœurs ont souffert au sortir de ton cul !
Ton cœur saigne d’abandon, comme ton cul de trop d’excès…
Alors l’enculé du cul tu as tout perdu...
Et tous les cœurs dorénavant te montreront leur cul !